il y a ce côté rando, approche de la montagne, bivouac, changement de dimension
& ce côté landart - comme une expérience nécessaire à tenter - non seulement y aller (là-haut)
mais y faire qq chose - avec ce dont on dispose.
là-dessus j'avoue que j'ai un peu triché :
j'ai eu l'idée avant de partir & j'ai mis dans mon sac un kilo de farine
pour dessiner les silhouètes d'ombres du soleil sur les rochers.
ensuite ça a été une question d'adaptation.
trouver une surface dans un cahos de rochers, trouver le bon moment au soleil, la bonne orientation & la bonne personne, la bonne pose pour que la silhouète - demeurée seule ensuite - reste expressive.
& faire ça trés vite car le soleil ne s'arrête pas.